Deux masters sinon rien ! La stratégie des "bac + 5"
de Léa Iribarnegaray In Le Monde (Paris. 1944), 23965 (25/01/2022), p.2-3 du Cahier Campus Le point sur les stratégies de cumul de masters mises en place par des étudiants pour faire face à la compétition sur le marché du travail : la recherche de distinction de ces étudiants dans un contexte de massification de l'enseignement supérieur ; le temps d'insertion professionnelle moindre, la qualification et la rémunération des emplois supérieurs pour les titulaires d'un master par rapport aux non-diplômés ; le choix de filières renommées pour leur deuxième master ; le coût financier important ; la recherche de la polyvalence et de la diversité de profils de la part des écoles puis des recruteurs ; l'augmentation du nombre d'étudiants qui poursuivent de longues études du fait de la crise sanitaire et de la conjoncture défavorable du marché du travail ; les baisses de salaires des plus diplômés ; les critères de sélection de l'université ; l'importance des "soft skills" pour les recruteurs ; le report de la mise en place de la plate-forme Trouve mon master, décriée par les organisations étudiantes, à la rentrée 2023. |
Iribarnegaray Léa.
« Deux masters sinon rien ! La stratégie des "bac + 5" »
in Le Monde (Paris. 1944), 23965 (25/01/2022), p.2-3 du Cahier Campus.
Titre : | Deux masters sinon rien ! La stratégie des "bac + 5" (2022) |
Auteurs : | Léa Iribarnegaray, Auteur |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Le Monde (Paris. 1944) (23965, 25/01/2022) |
Article : | p.2-3 du Cahier Campus |
Langues: | Français |
Descripteurs : | marché du travail / recrutement du personnel |
Mots-clés: | master |
Résumé : | Le point sur les stratégies de cumul de masters mises en place par des étudiants pour faire face à la compétition sur le marché du travail : la recherche de distinction de ces étudiants dans un contexte de massification de l'enseignement supérieur ; le temps d'insertion professionnelle moindre, la qualification et la rémunération des emplois supérieurs pour les titulaires d'un master par rapport aux non-diplômés ; le choix de filières renommées pour leur deuxième master ; le coût financier important ; la recherche de la polyvalence et de la diversité de profils de la part des écoles puis des recruteurs ; l'augmentation du nombre d'étudiants qui poursuivent de longues études du fait de la crise sanitaire et de la conjoncture défavorable du marché du travail ; les baisses de salaires des plus diplômés ; les critères de sélection de l'université ; l'importance des "soft skills" pour les recruteurs ; le report de la mise en place de la plate-forme Trouve mon master, décriée par les organisations étudiantes, à la rentrée 2023. |
Genre : | Article de périodique |