L'école africaine du MMA
de Boris Thiolay In Le Monde (Paris. 1944), 23911 (23/11/2021), p.27 Le point sur la pratique croissante du MMA (Mixed martial arts) au Sénégal en 2021 : la transition des jeunes sportifs pratiquant le lamb, "lutte avec frappes à mains nues", un art martial ancestral et sport national en Afrique, vers le MMA ; l'espoir des jeunes sénégalais de devenir professionnels de MMA, sport de combat plus médiatisé mais aussi plus violent ; les portraits d'Ousmane Dia, alias Bombardier, et d'Oumar Kane, dit "Reug Reug", des légendes vivantes au Sénégal ; les recrutements des ligues professionnelles dans les pays africains ; la pratique du MMA à haut niveau comme moyen d'accéder à une renommée internationale et à des revenus importants ; l'émergence de nombreux clubs de MMA ; la conversion de clubs d'arts martiaux en clubs de MMA sans garantie de sécurité pour les pratiquants ; l'augmentation considérable du nombre de licenciés ; la création de la Fédération sénégalaise de MMA, structure non agréée par le ministère des Sports ; le marché financier du MMA ; la dénonciation de l'abandon de la lutte traditionnelle pour le MMA. |
Thiolay Boris.
« L'école africaine du MMA »
in Le Monde (Paris. 1944), 23911 (23/11/2021), p.27.
Titre : | L'école africaine du MMA (2021) |
Auteurs : | Boris Thiolay, Auteur |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Le Monde (Paris. 1944) (23911, 23/11/2021) |
Article : | p.27 |
Langues: | Français |
Descripteurs : | sport de combat et de défense |
Mots-clés: | Sénégal (pays d'Afrique) |
Résumé : | Le point sur la pratique croissante du MMA (Mixed martial arts) au Sénégal en 2021 : la transition des jeunes sportifs pratiquant le lamb, "lutte avec frappes à mains nues", un art martial ancestral et sport national en Afrique, vers le MMA ; l'espoir des jeunes sénégalais de devenir professionnels de MMA, sport de combat plus médiatisé mais aussi plus violent ; les portraits d'Ousmane Dia, alias Bombardier, et d'Oumar Kane, dit "Reug Reug", des légendes vivantes au Sénégal ; les recrutements des ligues professionnelles dans les pays africains ; la pratique du MMA à haut niveau comme moyen d'accéder à une renommée internationale et à des revenus importants ; l'émergence de nombreux clubs de MMA ; la conversion de clubs d'arts martiaux en clubs de MMA sans garantie de sécurité pour les pratiquants ; l'augmentation considérable du nombre de licenciés ; la création de la Fédération sénégalaise de MMA, structure non agréée par le ministère des Sports ; le marché financier du MMA ; la dénonciation de l'abandon de la lutte traditionnelle pour le MMA. |
Genre : | Article de périodique |