La crise, carburant de l'extrême droite brésilienne
de Claire Gatinois In Le Monde (Paris. 1944), 22934 (06/10/2018), p.2 du Cahier Eco Un point sur l'impact de la crise économique de 2015 sur la montée de l'extrême droite au Brésil en 2018 : des exemples des conséquences de la récession économique sur le quotidien des Brésiliens ; les intentions de vote, lors du premier tour de l'élection présidentielle en octobre, très favorables à Jair Bolsonaro, le candidat d'extrême droite ; l'ampleur de la pauvreté ; l'espoir déçu après la destitution de Dilma Rousseff en 2016, considérée comme responsable des difficultés économiques du pays ; les désillusions avec son successeur Michel Termer ; le soutien des marchés financiers et d'entrepreneurs locaux à Jair Bolsonaro ; son programme économique ; la méfiance des investisseurs envers son adversaire Fernando Haddad, membre du Parti des travailleurs (PT) ; les interrogations sur la possibilité pour Jair Bolsonaro de faire accepter et appliquer son programme mêlant privatisations et austérité. (Cf. aussi p.4-5). |
Gatinois Claire.
« La crise, carburant de l'extrême droite brésilienne »
in Le Monde (Paris. 1944), 22934 (06/10/2018), p.2 du Cahier Eco.
Titre : | La crise, carburant de l'extrême droite brésilienne (2018) |
Auteurs : | Claire Gatinois, Auteur |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Le Monde (Paris. 1944) (22934, 06/10/2018) |
Article : | p.2 du Cahier Eco |
Langues: | Français |
Descripteurs : | Brésil / crise économique / élection présidentielle |
Mots-clés: | extrême droite : politique |
Résumé : | Un point sur l'impact de la crise économique de 2015 sur la montée de l'extrême droite au Brésil en 2018 : des exemples des conséquences de la récession économique sur le quotidien des Brésiliens ; les intentions de vote, lors du premier tour de l'élection présidentielle en octobre, très favorables à Jair Bolsonaro, le candidat d'extrême droite ; l'ampleur de la pauvreté ; l'espoir déçu après la destitution de Dilma Rousseff en 2016, considérée comme responsable des difficultés économiques du pays ; les désillusions avec son successeur Michel Termer ; le soutien des marchés financiers et d'entrepreneurs locaux à Jair Bolsonaro ; son programme économique ; la méfiance des investisseurs envers son adversaire Fernando Haddad, membre du Parti des travailleurs (PT) ; les interrogations sur la possibilité pour Jair Bolsonaro de faire accepter et appliquer son programme mêlant privatisations et austérité. (Cf. aussi p.4-5). |
Genre : | Article de périodique |