Le malaise dans la culture
de Sigmund Freud, Pierre Pellegrin Flammarion, 2010, 176 p. (Les livres qui ont changé le monde ; 21) Texte intégral publié en 1930, accompagné d'une préface qui en éclaire le contexte et en situe les enjeux pour aujourd'hui. Le fondateur de la psychanalyse y expose sa conception de la réalité sociale et sa philosophie politique. Et son diagnostic est troublant : si lhomme na rien à attendre dun « retour à la nature », il nest pas sûr pour autant que le développement culturel sache canaliser lirréductible agressivité humaine. Pour Freud, la civilisation ne fait pas le bonheur car elle demande de renoncer à nos pulsions les plus instinctives. Pourtant,on ne peut vivre sans elle. La question du destin de lespèce, prise entre Eros et Thanatos, reste en suspens, mais, loin de tout pessimisme, Freud rappelle ainsi aux hommes, au soir de sa vie, que leur libération passe par labandon de leurs dernières illusions. |
Freud Sigmund, Pellegrin Pierre.
Le malaise dans la culture.
Flammarion, 2010, 176 p.
(Les livres qui ont changé le monde).
Titre : | Le malaise dans la culture |
Auteurs : | Sigmund Freud, Auteur ; Pierre Pellegrin, Préfacier, etc. |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | Flammarion, 2010 |
Autre Editeur : | Le Monde |
Collection : | Les livres qui ont changé le monde, num. 21 |
ISBN/ISSN : | 978-2-08-123924-1 |
Format : | 176 p. |
Descripteurs : | condition humaine / liberté / mort : philosophie / nature / philosophie / psychanalyse / violence : philosophie |
Résumé : |
Texte intégral publié en 1930, accompagné d'une préface qui en éclaire le contexte et en situe les enjeux pour aujourd'hui. Le fondateur de la psychanalyse y expose sa conception de la réalité sociale et sa philosophie politique. Et son diagnostic est troublant : si lhomme na rien à attendre dun « retour à la nature », il nest pas sûr pour autant que le développement culturel sache canaliser lirréductible agressivité humaine. Pour Freud, la civilisation ne fait pas le bonheur car elle demande de renoncer à nos pulsions les plus instinctives. Pourtant,on ne peut vivre sans elle. La question du destin de lespèce, prise entre Eros et Thanatos, reste en suspens, mais, loin de tout pessimisme, Freud rappelle ainsi aux hommes, au soir de sa vie, que leur libération passe par labandon de leurs dernières illusions.
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Exemplaires (1)
Cote | Section | Localisation | Code-barres | Disponibilité |
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170 FRE | Documentaires | ESPACE DOCUMENTAIRE | 111254 | Disponible |